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Il fut mis définitivement hors service le 23 septembre 1944.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/QqLk5zieNnqKVv1fA">60 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/6.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="la-rue-hirschauer">La rue Hirschauer</h2> <p><em>C’est la rue principale de la ville et la plus animée. Autrefois “rue de Longeville”, elle porte aujourd’hui le nom</em> <em>du général de division Auguste-Édouard Hirschauer né au numéro 20 le 16 juin 1857 (voir l’article qui lui est consacré <a href="http://shpn.fr/page115/page115.html">ICI</a>).</em> <em>On y trouve notamment la fontaine Saint-Jean-Népomucène édifiée vers 1570, l’Hôtel des Comtes de Créhange (aujourd’hui Hôtel de Paris)</em> <em>avec sa chapelle du XVe siècle, l’ancien Hôtel de la Poste aux Chevaux datant de 1723 au n° 36 avec une remarquable porte cochère.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/DkZvdcZ8Yb4Yczkv6">60 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/7.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="la-rue-poincaré">La rue Poincaré</h2> <p><em>C’est l’ancienne rue de Hombourg reliant la place de la Victoire à l’actuelle rue Mangin. Elle porte le nom de Raymond Poincaré,</em> <em>né à Bar le Duc en 1860 et qui fut président de la république de 1913 à 1920. La fontaine Sainte-Marie, surmontée d’une croix de Lorraine,</em> <em>a remplacé en 1714 l’ancienne “fontaine des oies », édifiée en 1313 et qui aurait été la première fontaine de Saint-Avold.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/aC7X7CZZ9anMwX1y6">50 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/8.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="la-rue-du-général-de-gaulle">La rue du Général de Gaulle</h2> <p><em>Longeant l’ancienne abbaye, c’était la “rue du couvent” qui reliait autrefois, quand la ville était entourée de remparts,</em> <em>la place Saint-Nabor à la porte Saint-Matthieu et qui, aujourd’hui, s’étend jusqu’au Rond Poinr Robert Schuman.</em> <em>On remarquera, sur plusieurs photos, le bâtiment qui s’avançait sur la rue et qu’il a fallu couper lors de l’élargissement</em> <em>de celle-ci (actuel n°13, près du porche menant à l’école).</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/7myjBMHkceCyfmM18">22 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/9.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-autres-rues-du-centre-ville">Les autres rues du Centre-Ville</h2> <p><em>Après avoir présenté la rue Hirschauer, la rue Poincaré et la rue du Général De Gaulle,</em> <em>nous vous proposons 80 photos anciennes des autres rues du Centre de Saint-Avold</em> <em>dont un certain nombre nous ont été proposées par Bernard Bonnabaud</em> <em>qui collectionne les photos anciennes (et actuelles) de notre ville depuis de nombreuses années</em> <em>et qui n’hésite pas à partager ses “trésors”. Nous l’en remercions.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/5VMWiub7a956WyUU9">80 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/10.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="églises-et-chapelles">Églises et chapelles</h2> <p><em>Le grand chantier qui domine toute l’activité architecturale de la région au XVIIIe siècle est la reconstruction de l’abbaye de Saint-Avold.</em> <em>Commencée dans la première décennie du siècle, elle ne se termine qu’en 1769 avec l’achèvement de l’église abbatiale.</em> <em>La basilique Notre-Dame de Bon-Secours est, quant à elle, construite en 1890 à l’instigation de l’abbé Lemire sur l’emplacement</em> <em>d’une chapelle du XVIe siècle reconstruite à plusieurs reprises. Une Vierge miraculeuse y est l’objet d’un pèlerinage très ancien.</em> <em>L’église protestante a été construite pendant l’annexion suite à l’afflux de nombreux Allemands, civils et militaires,</em> <em>pour la plupart protestants, majoritairement luthériens.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/ztD8B5rAF4UNzBKQ7">75 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/11.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-casernes">Les casernes</h2> <p><em>Les cinq casernes construites entre 1877 et 1914, en étroite association avec la municipalité, ont fait de Saint-Avold à cette époque une importante ville de garnison. La ville se développa au nord sur un axe reliant le centre aux nouvelles casernes De Brack (ancienne Jäger Kaserne construite en 1911-1913), Lahitolle (ancienne Artillerie Kaserne, érigée de 1880 à 1890), l’Infanterie Kaserne en 1899 (rebaptisée caserne Ardant du Picq après la guerre ) , mais aussi au sud avec les casernes Mahon (Ketzerrat Kaserne) et Hamon, (Berg Kaserne), occupées par le prestigieux 14ème régiment des Uhlans du Ha novre depuis 1886.</em> <em>En 1900, la ville comptait 5 000 habitants, elle passa à 6 400 en 1910, dont 2 500 militaires.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/W9ZGb3DakrR1733m8">16 photos de la caserne Ardant du Picq ICI.</a></em></p> <p><em>Au nord de la ville, construites le long de l’actuelle avenue Patton se trouvaient</em> <em>la caserne De Brack entièrement rasée pour devenir une zone pavillonnaire</em> <em>et la caserne d’Artillerie (quartier Lahitolle, un temps rebaptisé quartier Foch) dont il reste notamment :</em> <em>le bâtiment de l’infirmerie converti en Conservatoire de Musique et de Danse et le bâtiment devenu en 1984 - 1987 Maison des Associations.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/E64vS83NEp1hq7nS7">12 photos ICI.</a></em></p> <p><em>Au sud de la ville, la caserne Mahon se trouvait à l’emplacement de l’actuel lycée Poncelet.</em> <em>Un peu au-dessus de la basilique, la caserne Hamon ou Bers Kaserne fut achetée après la guerre par la Société Sarre et Moselle</em> <em>pour y loger ses ouvriers. En 1923, on y comptait 704 habitants dont 633 étrangers. Elle fut rasée à partir de 1990 pour laisser place à l’I.U.T.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/jzpa18HqSN4xK3rv9">14 photos ICI.</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/12.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-quartiers">Les quartiers</h2> <h3 class="center" id="la-cité-jeanne-darc">La cité Jeanne D’Arc</h3> <p><em>Les travaux de déboisement et de construction de la nouvelle “colonie” débutent fin 1926.</em> <em>Très vite les documents d’archives parlent de la colonie de “Jeanne d’Arc”.</em> <em>Ce nom, choisi par les dirigeants de “Sarre et Moselle”, évoque le culte de Jeanne d’Arc, très populaire dans l’entre-deux-guerres.</em> <em>Le 18 juillet 1932, le Conseil municipal se plie à la tradition en donnant cette dénomination officielle à la cité.</em></p> <h3 class="center" id="la-cité-emile-huchet">La cité Emile Huchet</h3> <p><em>Dénommée Émile Huchet du nom du directeur général de la société “Sarre et Moselle” de 1924 à 1939,</em> <em>la cité est construite à partir de 1951 selon un concept architectural moderne et innovant.</em></p> <h3 class="center" id="le-wenheck">Le Wenheck</h3> <p><em>Un nouveau quartier sort deterre de 1953 à 1964 sur la colline du Wenheck située aux confins sud de la commune près des bans de Valmont et de Petit-Ebersviller.</em> <em>La première tranche débute en 1953 par un projet de construction de 200 logements par les Houillères du Bassin de Lorraine et la ville de Saint-Avold.</em> <em>Puis, en l’espace de trois ans, 443 logements et une école sont construits pour les militaires et civils canadiens travaillant sur la base de Grostenquin.</em> <em>Enfin, une troisième tranche de 190 logements,construits par les H.B.L. est réalisée en 1964.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/X9bu75RUhenmByzr5">37 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/13.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="dourdhal">Dourd’hal</h2> <p><em>Dourd’hal est tout d’abord une communauté villageoise propre dont la fondation est attestée depuis au moins le XIIe siècle. L’abbaye de Longeville appelée</em> <em>Saint-Martin-des-Glandières y fonde alors une communauté d’habitants dans un vallon, zone de contact entre les bonnes terres à blé du plateau lorrain</em> <em>dominées par la forêt de Fürst et le massif du Warndt par son versant pourvoyeur de gibier et de bois.</em> <em>Le manque de moyens financiers chronique amène finalement le Conseil municipal et son maire, Lucien André, à solliciter la fusion</em> <em>de la commune avec celle de Saint-Avold par délibération en date du 27 novembre 1964. Celle-ci est effective depuis le 1er janvier 1965.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/yVNsmimgX2ypvC7x8">60 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/14.png" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-gens">Les gens</h2> <p><em>Qu’ils soient nés dans notre ville ou qu’ils y aient simplement séjourné, les « gens » de cette galerie de photos sont pour la plupart anonymes</em> <em>mais peut-être en reconnaitrez-vous certains.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/o72nauNEtGYQfkta6">123 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/15.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="scènes-de-la-vie-quotidienne">Scènes de la vie quotidienne</h2> <p><em>Cette photo représente un bal champêtre à Moulin-Neuf en 1910. À cette époque, au mois de mai, les Naboriens se rendaient à la Bonne-Fontaine pour</em> <em>se recueillir près d’une petite chapelle (aujourd’hui à l’abandon), boire de l’eau à une source aux vertus miraculeuses, pique-niquer er danser.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/Xz6v5vPpwQj8D8jB9">50 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/16.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-quartiers-vus-du-ciel-1">Les quartiers vus du ciel</h2> <p><em>Bernard Bonnabaud et Joseph Colaccino, tous deux membres de la S.H.P.N. et du groupe « Si tu es né à Saint-Avold, viens partager tes souvenirs »,</em> <em>nous proposent ici un passionnant reportage sur le Saint-Avold d’aujourd’hui et celui d’hier. Se livrant à un véritable travail de détectives,</em> <em>ils ont retrouvé des photos anciennes qui permettent d’intéressantes comparaisons entre l’aspect actuel d’un certain nombre d’immeubles</em> <em>et ce qu’ils étaient avant « modernisation », celle-ci n’étant pas toujours une réussite !</em> <em>Ces photos sont le résultat de dizaines d’heures de travail, mais ces deux passionnés de photographie ne comptent pas leur temps.</em> <em>Nous les remercions pour ce beau partage.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/S5K7NYDJASkwD55Y6">100 photos (X 2) en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/17.jpg" alt="" /> <img src="/assets/images/phototheque/18.jpg" alt="" /> <img src="/assets/images/phototheque/19.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-fontaines">Les fontaines</h2> <p><em>Trois d’entre elles, les fontaines Saint-Nabor, Saint-Jean-Népomucène et Sainte-Marie, aux bassins polygonaux et margelles hautes, rappellent les fontaines autrichiennes, italiennes ou helvétiques. Elles sont situées sur l’ancienne route reliant Metz à Sarrebruck, La quatrième, la fontaine Melling, s’adosse à l’ancien Hôtel de ville du XVIIIe siècle, aujourd’hui siège de l’Office de Tourisme, rue des Américains.</em> <em>La ville compte d’autres fontaines plus récentes parmi lesquelles la fontaine Wallace, rue des Américains et la fontaine de la place Collin.</em> <em>Le village de Dourd’hal, longtemps commune autonome avant d’être rattaché à Saint-Avold le 1er janvier 1965, présente trois fontaines intéressantes édifiées dans la seconde moitié du XIXe siècle. Simples et rustiques, elles sont *jusqu’en 1939 les seuls points de ravitaillement en eau potable mis à la disposition des villageois et, à ce titre, sont des témoins de la vie rurale de cette époque.</em> *<a href="https://goo.gl/photos/58eXnTMVHRk3AaUY6*">35 photos en cliquant ici</a></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/20.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="le-lac-disparu">Le lac disparu</h2> <p><em>Le lac d’Oderfang recouvrait jadis, dans un cadre naturel remarquable, une superficie voisine de 34 hectares. La résorption progressive de ce superbe plan d’eau intervint hélas, dans la décade 1950-1960, par suite de l’abaissement de la nappe phréatique, elle-même attribuée à la multiplication des forages d’eau douce réalisés dans le bassin et l’exploitation minière sous-jacente. Ainsi le pays naborien fut privé d’un ensemble du plus grand intérêt pour l’environnement et les loisirs.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/FeHcHLegF6zr3JFx9">27 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/21.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="au-temps-du-tramway">Au temps du tramway</h2> <p><em>La ligne du tramway électrique de Saint-Avold, construite en 1909-1910 et mise en service le 7 février 1910, assura jusqu’au 23 septembre 1944, jour de l’arrêt définitif de l’exploitation, la liaison entre le centre-ville et la gare de Saint-Avold, située à environ 2,5 km au sud de la localité, en prenant en charge le transport des personnes et des colis postaux, avec toutefois une période d’interruption pendant la guerre, de 1939 à 1943.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/mKcRRoSL3D4VHVjm6">24 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/22.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="cafés-restaurants-brasseries">Cafés, restaurants, brasseries</h2> <p><em>Au début du XXe siècle, Saint-Avold était une petite ville de garnison d’environ 6 500 âmes dont 2 500 militaires.</em> <em>On y trouvait une trentaine de cafés et restaurants. Avec le départ des militaires beaucoup de ces établissements ont fermé.</em> <em>Aujourd’hui, leur nombre semble se stabiliser alors que dans les villages les cafés disparaissent malgré leur rôle essentiel dans le dynamisme des territoires.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/ZhP4d54rPgMvktiJ8">41 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/23.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="ancienne-devantures">Ancienne devantures</h2> <p><em>Le commerce a toujours été très important à Saint-Avold. Les foires et les marchés ont eu pendant longtemps un grand succès.</em> <em>Et si l’on faisait un peu de “lèche-vitrines” ?</em> <em><a href="hhttps://goo.gl/photos/5VJUSms5fvLtPo316">48 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/24.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="photos-de-classe">Photos de classe</h2> <p><em>Merci à celles et à ceux qui nous ont envoyé des photos de classe.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/BFjQ8AAp4o8gjw639">127 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/25.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="le-retour-à-la-france">Le retour à la France</h2> <p><em>En complément de l’article intitulé <a href="http://shpn.fr/page149/page149.html">“Novembre 1918 : Les Naboriens redeviennent français”</a>, voici des photos</em> <em>relatives aux défilés, aux festivités et au passage dans notre ville des généraux Maud’huy, Mangin, de Mitry,</em> <em>du maréchal Pétain et du président Poincaré.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/pnMpEsBpsYnB4iJE8">60 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/26.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-quartiers-vus-du-ciel-2">Les quartiers vus du ciel</h2> <p><em>L’histoire de Saint-Avold et celle de Hombourg sont intimement liées.</em> <em>Tout au long du Moyen Âge et jusqu’à la fin du XVIe siècle, ces deux bourgs de la vallée de la Rosselle, avec une trentaine de villages ou d’écarts,</em> <em>constituaient la seigneurie épiscopale (ou avouerie) de Hombourg-Saint-Avold. Si la cité naborienne était le centre économique de ce territoire,</em> <em>Hombourg, avec ses deux châteaux successifs, en était le centre politique considéré par les évêques de Metz comme une sentinelle avancée pour protéger leurs domaines.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/yumSGTcXzUWNc3P99">29 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/27.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-houillères-de-lorraine">Les Houillères de Lorraine</h2> <p><em>On ne saurait présenter le pays naborien sans évoquer la « grande aventure du charbon »</em> <em>qui a débuté au début du XIXe siècle pour s’achever en 2004 et qui a profondément transformé les paysages.</em> <em>Voir à ce sujet, sur ce site, les excellents articles de François Belin :</em> <em><a href="http://shpn.fr/page116/page116.html">Naissance et développement des Houllières de Lorraine</a></em> <em>et</em> <em><a href="http://shpn.fr/page117/page117.html">Les dernières années des Houllières de Lorraine</a></em> <em><a href="https://goo.gl/photos/HY7q38jTM4H3Pztb8">80 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/28.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="les-destructions-de-novembre-1944">Les destructions de novembre 1944</h2> <p><em>Les bombardements alliés dont celui, dévastateur, du 9 novembre 1944 ont fait de Saint-Avold une ville exsangue.</em> <em>Des 915 maisons, 72 sont détruites, 763 endommagées.</em> <em><a href="https://goo.gl/photos/4AysMEbemaLuVrEe8">32 photos en cliquant ici</a></em></p> <p><img src="/assets/images/phototheque/29.jpg" alt="" /></p> <h2 class="center" id="dans-lancienne-mine-de-plomb-du-bleiberg">Dans l’ancienne mine de plomb du Bleiberg</h2> <p><em>Pour tout savoir sur cette ancienne mine, on lira l’article de Jacques Kunzler :</em> <em>CONTRIBUTION À L’ÉTUDE HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE DE LA MINE DU BLEIBERG</em> <em><a href="http://shpn.fr/page35/page35.html">en cliquant ICI.</a></em> <em><a href="https://photos.app.goo.gl/88YYKftqBm3C3enM9">44 photos en cliquant ici</a></em></p> </div> <div class="clear"></div> <div class="footer blur_nav"> <p>Les articles publiés sur ce site restent la propriété de leurs auteurs et de la Société d'Histoire du Pays Naborien.<!--<br/>--> <!-- ---<br/>--> Pour toute reproduction, adresser une demande préalable au Président de la S.H.P.N. 28 rue des Américains 57500 SAINT-AVOLD</p> </div> </div> </div> </body> </html>