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OpenEdition Books

<?xml version="1.0" encoding="utf-8"?> <rdf:RDF xmlns:rdf="http://www.w3.org/1999/02/22-rdf-syntax-ns#" xmlns="http://purl.org/rss/1.0/" xmlns:dc="http://purl.org/dc/elements/1.1/" xmlns:dcterms="http://purl.org/dc/terms/"> <channel rdf:about="https://books.openedition.org"> <title> OpenEdition Books </title> <link> https://books.openedition.org </link> <items> <rdf:Seq> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/pupo/41931" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/pupo/42093" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/purh/24034" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/psorbonne/141863" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/puc/41028" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/pur/257986" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/edul/1062" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/edul/1512" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/edul/2052" /> <rdf:li resource="https://books.openedition.org/edul/2187" /> </rdf:Seq> </items> </channel> <item rdf:about="https://books.openedition.org/pupo/41931"> <title> La recherche comme composition </title> <description> <![CDATA[ L’enquête ethnographique a toujours été accompagnée par l’enregistrement de matériaux visuels et sonores auxquels les anthropologues donnent plus ou moins forme. Toutefois, rares sont celles et ceux qui considèrent cette création formelle comme une source de connaissance fondamentale. Figure de premier plan de l’anthropologie et des sound studies de langue anglaise, Steven Feld a développé une conception de la recherche comme composition sans égale. Ses œuvres intermédia rendent sensibles différentes manières d’habiter le monde et de recomposer sa mémoire sonore à l’ère de l’anthropocène. Du ruissellement d’une cascade de la forêt équatoriale aux klaxons de la mégalopole d’Accra, en passant par le son des cigales ou la détonation de la bombe atomique, les deux essais inédits de cet ouvrage bouleversent les perspectives acoustiques établies et ouvrent le passionnant domaine de la recherche-composition. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/pupo/41931 </link> <pubDate> 2025-04-04 </pubDate> <dc:creator> Steven Feld, Jonathan Larcher, Damien Mottier et Magali De Ruyter </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Presses universitaires de Paris Nanterre </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/pupo/42093"> <title> Imaginaires technologiques </title> <description> <![CDATA[ « Il n’y a pas d’alternative » dit TINA, l’imaginaire institué qui verrouille le futur. Triste nouvelle. Heureusement, elle ne vient pas seule : d’autres imaginaires, instituants ceux-ci, pourraient, pourront rouvrir l’avenir.C’est que des imaginaires technologiques, il y en a tant. Parmi lesquels : une « manufacture moléculaire », des « biobriques » comme de LEGO, la réécriture de l’ADN et l’OUGEPO (cf. l’OULIPO), l’Atomium, le reprisselator, le nanoDraster, ou encore un foie amélioré par manipulation génétique dans le but de résister au gin (bonne ou mauvaise chose ?). On pourra aussi évoquer dans un même mouvement les Smart (phone, city, etc.) et le dieu Theuth, ou montrer comment les « imaginaires institués de l’écriture » et les « imaginaires instituants du graphe » peuvent exprimer le Web. On pourra se demander si les images qui illustrent les discours sur l’IA – par exemple des images de visages androgynes bleus et blancs composés de particules numériques – ne sont pas trop peu « pensives ». Et encore imaginer un projet de Welfare numérique, de Webfare en somme, au sein duquel apparaissent Dieu et un rasoir à sept lames – pourquoi pas ? Cette traversée des imaginaires proposera aussi d’examiner une gravure de Dürer qui représente un dessinateur utilisant un perspectographe : occasion, aussi inattendue que belle, de méditer la tâche de « travailler pour la forme » à l’heure des appareils numériques. Pour finir, on écoutera une histoire : une histoire où l’on croise Gagarine dans son vaisseau spatial et des addicts aux annonces immobilières sur le Web qui en viennent à habiter les écrans.On ne peut pas partager, distinguer – entre la représentation et l’opération, le rationnel et l’imaginaire (irrationnel, bien sûr), le réel (réel, bien sûr) et l’imaginaire (illusoire, bien sûr) – non, on ne peut pas : les imaginaires technologiques sont à l’œuvre. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/pupo/42093 </link> <pubDate> 2025-04-04 </pubDate> <dc:creator> François-David Sebbah et Alberto Romele </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Presses universitaires de Paris Nanterre </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/purh/24034"> <title> Éducation et frontières </title> <description> <![CDATA[ Issu d'un colloque de la Société francophone de philosophie de l’éducation, cet ouvrage étudie les frontières qui travaillent les institutions, les pratiques et les discours éducatifs, leur normativité et la manière dont elles s’affirment ou se déplacent dans l’idée d’un cosmopolitisme éducatif ou dans le processus de formation de soi. Politiquement, la question des frontières s'inscrit dans un monde marqué à la fois par les migrations et les replis protectionnistes. Elle intervient également dans la détermination plus ou moins problématique des régions ou des étapes, réelles ou symboliques de l’espace-temps éducatif.La frontière ordonne le chaos, délimite des territoires géographiques ou symboliques. Loin d’être un mur, c’est plutôt une porte ou une peau qui régule les passages et les échanges d’informations, de marchandises, de populations. Du point de vue éducatif, les frontières définissent des seuils, des paliers, voire des points de non-retour. Enfin, instaurer une frontière suppose d’articuler l’horizontalité d’un tracé, sur la carte ou le territoire, et la verticalité d’un fondement, politique, religieux, scientifique, culturel. Il n’est de frontière qu’instituée, voire sacralisée.Issu d’un colloque de la Société francophone de la philosophie de l’éducation (SOFPHIED) le présent ouvrage revient sur les lignes de partage qui travaillent les institutions, les pratiques et les discours éducatifs et sur la manière dont celles-ci s’affirment, se déplacent ou se défont. Il explore le cosmopolitisme éducatif, ses attendus et ses conditions de possibilité. Il questionne la normativité inhérente au schème de la frontière en éducation. Il étudie le dynamisme de la frontière comme moment de rupture, de crise, de dépassement, dans le processus de formation de soi. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/purh/24034 </link> <pubDate> 2025-04-04 </pubDate> <dc:creator> Michel Fabre et Anne-Claire Husser </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Presses universitaires de Rouen et du Havre </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/psorbonne/141863"> <title> Les bestiaires des mages </title> <description> <![CDATA[ La documentation dite « magique » de l’Antiquité gréco-romaine recouvre une grande diversité de sources sur des pratiques rituelles qui, notamment sous l’Empire romain, témoignent de l’ampleur des échanges entre les cultures du bassin méditerranéen. Dans les rites guérisseurs, les malédictions ou diverses requêtes adressées aux divinités, au carrefour entre la religion et d’autres registres de savoirs, des animaux aussi divers et merveilleux que la hyène, le caméléon, la huppe ou le poisson nommé echenêis, aussi connus que le coq, le pigeon, le chien ou le serpent, ou encore aussi sacrés que le chat, le faucon, l’ibis ou le scarabée, sont mis à contribution pour leurs pouvoirs et leurs forces vitales.Cet ouvrage explore des bestiaires et leurs auteurs, à travers l’encyclopédie romaine de Pline l’Ancien, les recettes de papyrus gréco-égyptiens ou le grimoire des Cyranides, et met au jour la fabrique d’une puissance, animale, humaine ou divine, qui apparaît comme un horizon de transformation des savoirs à l’époque impériale. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/psorbonne/141863 </link> <pubDate> 2025-04-03 </pubDate> <dc:creator> Thomas Galoppin </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Éditions de la Sorbonne </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/puc/41028"> <title> Representing the Commons in Early Modern England </title> <description> <![CDATA[ Ours is an age of extremely fragmented experiences and identities – a fragmentation paralleled by a growing awareness that we all inhabit a common world. In reality, these two phenomena have a lot more in common than one might suspect: deeply engrained individualism and the destruction of ecosystems are two sides of the same capitalist coin. Thus, the question of “the commons” becomes more relevant than ever.This book aims to fill a gap in the recent theoretical discussion of the commons by rethinking the notion from the perspective of early modern English literature and culture. It argues that the commons needs to be shown and represented, not just theorised or discussed in abstract terms. By focusing on some of the foundational, textually embodied forms through which this notion was represented and disseminated, the essays brought together here aim not only to interrogate the ways in which the commons was framed and appropriated in early modern English texts, but also to highlight the enduring relevance of these forms to critical discussions of the commons today. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/puc/41028 </link> <pubDate> 2025-04-03 </pubDate> <dc:creator> Jeremy Elprin et Mickaël Popelard </dc:creator> <dc:language> en </dc:language> <dc:publisher> Presses universitaires de Caen </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/pur/257986"> <title> Scream for Life </title> <description> <![CDATA[ L’émergence au milieu des années 1990 en République populaire de Chine d’un underground musical punk à Pékin et Wuhan a de quoi surprendre, quelques années seulement après la répression du mouvement démocratique de Tian’anmen. De jeunes Chinois et Chinoises ont ainsi investi des espaces en dehors du marché et de l’État afin de constituer des communautés alternatives où de nouvelles formes de vie ont été expérimentées loin des critères établis par le Parti communiste chinois.Cet ouvrage retrace pour la première fois l’histoire du punk chinois, replacé dans le contexte plus large des mouvements contre-culturels chinois, et tente, en adoptant une approche ethnographique, de donner une idée précise de ce qui s’élabore dans ces espaces et des significations que les acteurs du punk attribuent à leurs pratiques musicales. De l’histoire du rock chinois des années 1980 à l’introduction sur le marché noir des dakou (CD et cassettes de contrebande venus de l’Occident), en passant par les tournées en compagnie des groupes de punk, les insultes proférées dans les chansons, ou les pogos dansés dans des salles de concert minuscules, cet ouvrage apporte un éclairage inédit sur un mouvement contestataire encore largement méconnu. Alors que le régime chinois contrôle de plus en plus fermement les modalités d’expression publique, cette analyse du punk explique comment un discours de vérité sur le pouvoir s’est élaboré aux marges de la société chinoise, perpétuant la mémoire des luttes passées et préparant celles à venir. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/pur/257986 </link> <pubDate> 2025-04-03 </pubDate> <dc:creator> Nathanel Amar </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Presses universitaires de Rennes </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/edul/1062"> <title> Le geste et la trace </title> <description> <![CDATA[ Conforté par la première édition de juin 2011, le deuxième colloque international « Le geste et la trace » s’est adressé aux spécialistes des disciplines scientifiques, médicales, littéraires et artistiques engagés dans la mise en évidence d’indices et de traces, tant macroscopiques que microscopiques, qui s’avèrent de véritables révélateurs d’une activité humaine sur tout type de support.Une nouvelle fois, la ligne directrice de ce colloque fut l’approche interdisciplinaire et diachronique soutenue par la démonstration de gestes retrouvés puis expliqués à partir de protocoles scientifiques et/ou littéraires et artistiques.Naturellement, le colloque était ouvert à toutes les périodes historiques et à tous les espaces géographiques.Parmi les différentes activités humaines qui ont été retenues pour le colloque de 2013, trois gestes – professionnel, artistique et criminel – ont été privilégiés. Au premier abord, si ces gestes semblent apparaître fort éloignés l’un l’autre – ; ils peuvent pour autant s’imbriquer et/ou se potentialiser, car ils possèdent, de fait, la main et la pensée comme dénominateurs communs.Ainsi, il semble dorénavant acquis que cet apport commun permet la complémentarité de plusieurs disciplines éloignées l’une de l’autre, mais qui, à cet instant, s’additionnent. Les scénarios envisagés et leur démonstration n’en sont alors que plus imparables.Le but de cette manifestation était de rassembler également des artistes et des chercheurs susceptibles de mettre en évidence différentes techniques d’investigations à partir d’expériences, de performances, d’études de cas ou bien de présenter des technologies novatrices qui permettent aujourd’hui de faire progresser l’ensemble des disciplines attachées aux traces et aux indices.Ces actes témoignent ainsi de la richesse et de la variété des recherches les plus en pointe. Ils rassemblent les textes des communications et des interventions présentées au cours de ces journées points de rencontres et de départ à de nouvelles investigations. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/edul/1062 </link> <pubDate> 2025-04-02 </pubDate> <dc:creator> Francis Janot, Denis Morin et Gérard Giuliato </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Éditions de l’Université de Lorraine </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/edul/1512"> <title> Fortification et artillerie en Europe autour de 1500 : le temps des ruptures </title> <description> <![CDATA[ Entre équilibre et rupture, les années 1500 sont marquées par les « grandes découvertes », mais surtout par une effervescence artistique, intellectuelle et technologique qui va faire basculer l’Europe dans la modernité. Dans ce cadre, la brutale capacité du boulet métallique à faire brèche dans le mur va faire exploser, puis s’unifier, les réponses architecturales de la défense. Ces réponses souvent désuètes, parfois efficaces aux progrès de l’artillerie à poudre — maillons d’une inéluctable évolution corollaire aux ruptures administratives, financières, stratégiques et tactiques inhérentes — font montre d’un grand équilibre dans les formes d’architecture bellique produites.Le champ d’investigation de ce colloque porte précisément sur les expérimentations menées autour de 1500 en réponse à cette modernité de l’attaque. Les différentes communications présentées dans ce volume démontrent que ce mouvement de modernisation est général à l’ensemble des principautés et états européens, voire dans le monde ottoman, et qu’avant même la mise en place du système bastionné autour de 1530 qui va en réduire les coûts, la fortification avait standardisé ses pratiques pour intégrer le canon. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/edul/1512 </link> <pubDate> 2025-04-02 </pubDate> <dc:creator> René Elter et Nicolas Faucherre </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Éditions de l’Université de Lorraine </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/edul/2052"> <title> Châteaux et Villes fortes du Comté de Vaudémont en Lorraine médiévale </title> <description> <![CDATA[ Depuis les travaux de Michel François consacrés à l’histoire des comtes de Vaudémont, il restait à donner une base matérielle à cette principauté. C’est chose faite avec l’ouvrage de Gérard Giuliato à travers lequel on voit se constituer le comté au détriment de deux pagi carolingiens, le Saintois et le Chaumontois. L’auteur propose une lecture attentive des constructions fortifiées au premier rang desquelles se détachent l’énigmatique tour Brunehaut – le plus ancien donjon de Lorraine – et Châtel-sur-Moselle, exceptionnel ensemble du milieu du XVe siècle, adapté à l’artillerie à poudre. Il nous révèle aussi d’autres sites comme Bainville-aux-Miroirs, Chaligny, Deuilly, Messein, Pont-Saint-Vincent et Vézelise généralement oubliés car moins bien conservés.Accompagné de nombreuses cartes, de plans, de relevés d’architecture et d’un cédérom qui invite à une visite virtuelle des sites dans leurs moindres détails, l’ouvrage permet de comprendre l’évolution de l’architecture défensive lorraine durant cinq siècles. Cette étude fondée sur le croisement des sources écrites et des sources archéologiques montre comment un réseau de fortifications peut constituer un bon reflet du pouvoir d’un prince au Moyen Âge. Les comtes de Vaudémont surent conserver la plénitude de leur droit de défense en bâtissant les châteaux et enceintes urbaines nécessaires à assurer la sécurité de leurs terres et de leurs sujets et en gardèrent un contrôle jaloux. Contrairement à d’autres princes, ils n’aliénèrent aucune de leurs possessions et empêchèrent la prolifération de maisons fortes et de toute fortification tenue par des vassaux.Ce patrimoine joua un rôle important dans l’histoire militaire de la région à la fin du Moyen Âge. En 1346, il entra dans les possessions des sires de Joinville avant d’être divisé en 1380. Châtel, Bainville et Chaligny constituèrent une nouvelle entité qui passa par mariage aux sires de Neufchâtel (Franche-Comté). Unis, les deux lignages affrontèrent René Ier entre 1430 et 1441 avant de s’opposer en 1475-1477. Il fallut attendre 1543 pour que le domaine ancestral soit rassemblé par le duc Antoine, avec l’accord du roi de France et de l’empereur. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/edul/2052 </link> <pubDate> 2025-04-02 </pubDate> <dc:creator> Gérard Giuliato </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Éditions de l’Université de Lorraine </dc:publisher> </item> <item rdf:about="https://books.openedition.org/edul/2187"> <title> L’Austrasie </title> <description> <![CDATA[ Après Metz en 1988, Nancy a accueilli en septembre 2005 les XXVIe Journées d’Archéologie mérovingienne, qui se sont tenues à l’Université Nancy 2, sous l’égide de l’Association française d’Archéologie mérovingienne (AFAM), fondée en 1979. Cette association a pour but de rassembler les chercheurs spécialisés dans cette période, qu’ils soient professionnels (Université, Institut national d’archéologie préventive, collectivités territoriales, CNRS…) ou indépendants.Le choix du lieu s’imposait, dans la mesure où Nancy fut en quelque sorte le berceau de l’Archéologie mérovingienne métropolitaine, avec les travaux d’Édouard Salin (1889-1970). Le cadre géo-historique défini, l’Austrasie, comprise dans son acception géographique la plus large, de la Champagne à la Thuringe, a permis de réunir plus d’une quarantaine de contributions de chercheurs français, belges, allemands et suisses dans des domaines aussi variés que l’archéologie de l’habitat et de son environnement, les productions et les échanges, la christianisation, l’archéologie funéraire et l’anthropologie. ]]> </description> <link> https://books.openedition.org/edul/2187 </link> <pubDate> 2025-04-02 </pubDate> <dc:creator> Jacques Guillaume et Édith Peytremann </dc:creator> <dc:language> fr </dc:language> <dc:publisher> Éditions de l’Université de Lorraine </dc:publisher> </item> </rdf:RDF>